[dropcap]D[/dropcap]ans un très long post sur Facebook, Mark Zuckerberg revient sur la polémique de la prolifération de la désinformation sur le réseau et les débâcles des présidentielles américaines.
Avec les élections américaines, le phénomène des news mensongères a explosé sur les réseaux sociaux, tels que Facebook, Twitter et YouTube, ainsi que des services d’agrégation, tel que Google Actualités.
Zuckerberg a tenu tout d’abord de rappeler que Facebook n’est pas et ne sera jamais un média, et que sa firme a toujours combattu la désinformation et la publicité mensongère en permettant à tout le monde de signaler ce genre de postes. Il explique aussi que les nouvelles mesures ne sont qu’une extension de celles qui existent déjà et que les mises à jour du fil d’actualité ne devraient pas faire l’objet d’une annonce prématurée.
Tout d’abord, Facebook commencera par sécuriser sa politique ads pour réduire l’impact de ce genre de posts, supprimer des revenus potentiels et rendre ce business moins lucratif essentiellement pour ceux qui véhiculent de fausses informations.
D’autre part, Facebook n’interdira pas la publication d’articles de désinformation, il mettra juste en place des outils de signalisation et d’avertissement plus efficaces. Le réseau va aussi revoir sa fonctionnalité « articles similaires », qui suggère d’autres articles à l’utilisateur en-dessous des liens sur le fil d’actualité, qui serviraient d’éléments de comparaison